Cette œuvre de Tchaïkovski, je l’ai découverte par une collection de cassettes vidéos (voir cette page) Les films de ma vie, dont l’introduction commençait par la voix de Claude Berri citant les propos de François Truffaut (en page d’accueil de ce site) avec une musique d’orchestre reprenant le thème musical.
J’ai entendu à nouveau ce morceau de musique dans le film Une nuit. Dans le dossier de presse on peut lire
Dans la musique du film, le piano a une place centrale.
Oui, Tchaikovsky « Juin : Barcarolle » et César Franck « Prélude, fugue et variation » ainsi que e thème que Vincent Blanchard, le compositeur de la musique, a créé, conçu comme une fugue. Je souhaitais que le film, dans sa narration, la variation des scènes, soit composé comme une étude pianistique. Au début tu as « Juin », mais réinterprété, avec des accords plaqués, et ensuite on le retrouve dans sa version plus connue, avec ses arpèges et plus tard dépouillé de certaines notes. On le retrouve à la fin, sur le pont, avec le piano imaginaire.
Dans la fugue, tu as une thématique harmonique, tu l’enrichis ou tu l’ellipses, tout en gardant cette harmonie. Avec ses trois thématiques harmoniques (Tchaikovsky, Franck, lamusique de Vincent Blanchard), nous avons composé notre fugue.
J’ai entendu à nouveau cette musique dans le film Mikado . C’est une scène furtive de souvenir, où on voit la mère jeune ado en train d’apprendre ce morceau. On comprend (ou pas) que c’est un souvenir traumatique avec une main qui se pose sur son épaule.
Une interprétation du morceau original: